Retour sur « Le Clan des Siciliens » de Henri Verneuil avec en tête d’affiche un trio royal : Jean Gabin, Alain Delon et Lino Ventura.
Se classant 3ème au box-office de l’année 1969 derrière « Il était une fois dans l’Ouest » et « Le Cerveau », « Le Clan des Siciliens » représente avant tout la réunion exceptionnelle des « 2Be3 du polar des années 60 » comme les a surnommé un journaliste belge, devant la caméra de l’un des plus grands cinéastes du cinéma populaire français du siècle dernier.

« Roma a Mano Armata » réalisé en 1976 par Umberto Lenzi (et maladroitement intitulé « Brigade Spéciale » en France), demeure l’un des meilleurs polars italiens des années 70.
Pourtant, il reste encore aujourd’hui quasi inconnu dans nos contrées. Mettant en scène Tomas Milian et Maurizio Merli, ce film est considéré par les critiques comme un véritable pilier du poliziottesco, un sous-genre cinématographique extrêmement populaire de l’autre côté des Alpes, né pendant les années de plomb.

Retour sur les coulisses de « Black Rain » réalisé en 1989 par le grand Ridley Scott.
Considéré à tort comme un film mineur dans la filmographie de Ridley Scott et souvent critiqué par sa représentation stéréotypée des Japonais, « Black Rain » peut pourtant aisément être considéré comme l’un des meilleurs polars de la fin des années 80.

Nouvelle escale dans notre beau pays pour la remise en lumière de « La Guerre des Polices », un polar au casting 4 étoiles, gros succès à sa sortie mais qui est peu à peu sorti des radars depuis.
Claude Brasseur, Marlène Jobert, Claude Rich sont en tête d’affiche de ce film qui casse les codes traditionnels du genre à une époque où il paraissait encore impensable d’égratigner la maison police et certaines de ses méthodes.

Suite et fin de notre cycle consacré au trio Belmondo/Lautner/Audiard avec un dernier épisode qui revient sur la production mouvementée du « Professionnel ».

« Le Professionnel », c’est assurément, l’un des films préférés des fans de Jean Paul Belmondo, celui qui revient spontanément quand on évoque le grand Bebel. Si le film n’est pas exempt de défauts, il reste encore aujourd’hui, un polar à la française particulièrement fort et prenant, notamment grâce à son mythique final.